Beaucoup de pays européens élaborent leurs propres lois et règlementations en termes d’étiquetage nutritionnel et sans se concerter ou avoir une approche commune.
Voici encore une nouvelle couche de données produits qu’il faudra gérer.
Et cela n’est pas fini…
Suite aux scandales alimentaires, des pays imposent de fournir de plus amples renseignements sur les ingrédients présents : Ex le type de viande, l’origine et la quantité utilisée dans les produits alimentaires….
Avec la croissance du e-commerce, on peut facilement imaginer que cette inflation de données n’est pas finie.
Pour répondre à ces besoins et demandes, des entreprises réagissent sous pression et au dernier moment accumulant les logiciels, gérant de multiples fichiers Excel ou travaillant à la main. D’autres risquent même de ne pas y répondre…
Dans tous les cas, elles vont y consacrer du temps, de l’énergie, des ressources… pour un résultat mitigé : pour un même produit et un même attribut, on risque d’avoir des valeurs différentes selon les pays, ce qui entraînera une perte de confiance à l’égard de la marque et/ou du vendeur.
Comment changer cette situation et mieux répondre aux demandes des consommateurs ?
Il est important que les entreprises considèrent la donnée produit comme un actif stratégique avec une vision globale des enjeux de l’information produit.
Les sources et les points de consommation de données se démultipliant, la mise en place d’une gouvernance de la donnée leur permettra de répondre à ces multiples défis, dont particulièrement celui du e-commerce.